L’andalouse bouddhique
Partout où elle se pose on pourrait croire que c’est le centre du monde.
Au bord du sourire ou de la colère
Elle décide de se raser le crâne souvent comme l’indique la boutique où elle officie « coup de tête »
Elle a marché sur les pentes du Tibet et se crame aujourd’hui au zénith, sur le sable brûlant dans la rumeur des vagues
Sa chienne est morte mais l’innocent continue de la scruter depuis le banc.
La Maria est là